Le code morale du Karatéka
Le coeur : C’est l’harmonie de la vie des hommes.
La courtoisie : C’est cultiver le respect de l’être l’humain.
La générosité : C’est être dévoué et désintéressé.
L’humilité : C’est toujours garder l’esprit débutant.
La loyauté : C’est faire face, sans tricher, ni déguiser sa pensée; c’est la rectitude du corps et de l’esprit.
L’amitié : C’est le plus pur des sentiments.
Le courage : C’est s’engager pour une cause en surmontant sa peur.
La dignité : C’est rester soi-même dans la défaite comme dans la victoire.
La sincérité : C’est s’exprimer avec son coeur et non son mental.
La sérénité : C’est rester calme et lucide quand monte la colère.
L’honneur : C’est respecter ses engagements jusqu’au bout.
La persévérance : C’est la parfaite compagne du pratiquant.
Un peu d’histoire…
La Chine occupe l’archipel des Ryûkyû (Okinawa). Des échanges de techniques de combat ont lieu entre l’occupant chinois et les Okinawaiens.
Gichin Funakoshi est considéré comme le père du karaté moderne.
Gichin Funakoshi, descendant d’une lignée de samouraïs, est le père du style Shotokan. Il pratiquait la calligraphie et élaborait des poèmes, qu’il signait sous le nom de Shoto. Shotokan est la maison de Shoto
